17 avril 2015

Interlude : choses saugrenues

J'ai aperçu la "femme-singe" locale, en Équateur (depuis le bus, elle dans la rue, mais bon). Plein de pwals donc.
"Dis donc il était vachement poilu le mec là.
- Ah tu l'as vue ?! C'est la mujer-mono (femme singe) ! Elle est hyper connue !"
Bon j'ai cherché, apparemment mondialement y en a une qui lui vole la vedette, c'est pas juste.

Les indigènes portent toujours des chapeaux. De jolis chapeaux. Mais du coup quand il pleut, au lieu d'utiliser un parapluie, de retirer le chapeau ou d'avoir un deuxième chapeau waterproof, elles le couvrent avec un sac plastique. C'est tout de suite moins classe.

Deux dichos (dictons) qu'on entend tout le temps :
"Todo posible, nada seguro."
(Tout est possible, rien n'est sûr.)
"À la cama y en la mesa, no verguenza."
(À table et au lit, il n'y a pas de honte à avoir.)
- Oui, ils sont très portés blagues grivoises, même quand vous les connaissez pas. D'ailleurs en parlant de ça...

Un jour on a trouvé un fruit étrange et inconnu qui nous faisait penser à des... Enfin on dirait que ce sont des poils de... Enfin bref.


Et un jour on a trouvé le pendant femelle, sur un arbre.


Au tout début, à Quito, je vais à une soirée pour Halloween et je tombe par hasard sur un ami que je savais seulement à Quito. Quelques jours plus tard je rencontre comme ça, dans la rue, une fille de Lyon que je savais seulement en Amérique latine ! Le monde doit pas être si grand.

Au Chili, à Pucon, j'ai retrouvé la bouée de mon enfance.



1 commentaire:

  1. Que de souvenirs cette bouée!! Les vacances à Saint-Martin-de-la-Mer !!!!!!!
    Sonia

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